... et tes larmes n'y pourront rien changer...
Avec lui j'aurais dû me méfier, savoir, depuis le temps, que j'allais perdre le mien. J'imaginais une grande déclaration gaullienne, churchillienne, du sang et des larmes, et nos pioupious sur la ligne de front dans les six mois, juste après les moissons.
En fait, encore une fois, il était venu s'écouter parler, se voir si beau en son miroir.
La guerre ? Envoyer des troupes ?
Si, SI, et seulement si, la Russie nous déclare la guerre, alors oui, il faudra y songer... Mais c'est pas nous qu'on commencera hein... Y'a des limites...
Si, si, si, si... Si ma tante en avait...
Ça tombe bien : Poutine ne nous montre pas le début du commencement d'une intention de bombarder notre cher et vieux pays...
Foutriquet va ! Énergumène !
Trouve-toi quelqu'un à panthéoniser et fout-nous la paix ! La vraie !
Même pas peur...
Je n'ai aucune confiance dans cet homme, et il me fait peur.
RépondreSupprimerBedeau
Eh bien quoi vous dire d'autre que "n'ayez pas peur"...
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