mardi 2 juillet 2024

Le grand roman de l'occupation



Alors, mes p'tits amis, faut que vous sachiez : le 1er juillet n'est pas seulement le jour où vous apprenez que votre facture de gaz va prendre 12 %, que votre découvert autorisé ne l'est plus, que votre tabac vaut le prix d'une belle entrecôte ; c'est aussi le jour où votre serviteur prend un carat de plus.

Je fus gâté en cette soirée mémorable. Entre autres cadeaux tous aussi réjouissants les uns que les autres, ma belle m'a offert un livre : "Le barman du Ritz" de Philippe Collin, sous-titré "Le grand roman de l'occupation". 

Le pedigree de l'auteur vous saurez facilement le trouver, disons pour résumer qu'il a beaucoup œuvré pour le service public. Et, de fait, je me souviens de ses chroniques décalées sur France Inter. Cet état de service pourrait sembler rebutant à d'aucuns, mais je n'ai pour ma part aucun a priori et ne souffre pas de sectarisme. 

Le livre serait, dit-on, richement documenté et commence par une citation d'Ernest Hemingway :

"Lorsque je rêve de l'au-delà, du paradis, je me trouve toujours transplanté au Ritz, à Paris." 

Bon... 

Allons-y voir ! 


14 commentaires:

  1. Les heures le plus sombres vues du bar du Ritz ?

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Où la fête continuait, le seul bar parisien à ne pas subir le couvre-feu.

      Supprimer
  2. Quand on pense que même le bar du Ritz a pu être nauséabond et que si les électeurs votent mal dimanche il le redeviendra, on frémit !
    La Dive

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. C'était même le dernier refuge des nauséabonds ! 😄

      Supprimer
    2. Et la rue Lauriston risque d'être barrée dans les deux sens…

      DG

      Supprimer
    3. Ah oui sans aucun doute ! 😀

      Supprimer
  3. En somme c'est une lecture qui occupe !
    Oh pardon, j'avais oublié que je n'étais plus persona grata ici, je le referai plus !

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Une lecture qui occupe ! Mouarf ! ☺️
      Mais vous êtes toujours la bienvenue Mildred...

      Supprimer
    2. Vous avez déjà oublié, Fredi, que c'est à cause de mes commentaires qui, sans doute, ne satisfaisaient pas à l'idée que vous vous faisiez de votre ligne éditoriale, que ni une, ni deux, vous aviez fermé votre blog ?

      Supprimer
    3. Ce n'est en aucun cas à cause de vos commentaires si j'ai fermé mon blog, mais bien à cause de mes états d'âme du moment.

      Supprimer
  4. Eh bien, puisqu'il en est ainsi, j'ai un cadeau d'anniversaire pour vous :

    https://georges-de-la-fuly.blogspot.com/2024/07/comme.html

    Ce monsieur a beaucoup de talent, trop sans doute pour figurer encore sur la blog-roll de mon Parrain d'où il a disparu depuis des lustres !

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Il a sans doute beaucoup de talent mais moi j'ai tendance à le trouver ennuyeux, sentencieux, un peu trop à l'écoute de sa petite personne...
      Mais merci quand même !

      Supprimer
  5. Bon anniversaire Georges !

    RépondreSupprimer

Lâchez-vous !
Mais en gens bien élevés tout de même...