mardi 2 juillet 2024

Le grand roman de l'occupation



Alors, mes p'tits amis, faut que vous sachiez : le 1er juillet n'est pas seulement le jour où vous apprenez que votre facture de gaz va prendre 12 %, que votre découvert autorisé ne l'est plus, que votre tabac vaut le prix d'une belle entrecôte ; c'est aussi le jour où votre serviteur prend un carat de plus.

Je fus gâté en cette soirée mémorable. Entre autres cadeaux tous aussi réjouissants les uns que les autres, ma belle m'a offert un livre : "Le barman du Ritz" de Philippe Collin, sous-titré "Le grand roman de l'occupation". 

Le pedigree de l'auteur vous saurez facilement le trouver, disons pour résumer qu'il a beaucoup œuvré pour le service public. Et, de fait, je me souviens de ses chroniques décalées sur France Inter. Cet état de service pourrait sembler rebutant à d'aucuns, mais je n'ai pour ma part aucun a priori et ne souffre pas de sectarisme. 

Le livre serait, dit-on, richement documenté et commence par une citation d'Ernest Hemingway :

"Lorsque je rêve de l'au-delà, du paradis, je me trouve toujours transplanté au Ritz, à Paris." 

Bon... 

Allons-y voir !