Je viens de refermer le livre d'Olivier Weber, "Ma vie avec Gérard de Nerval".
Puis, pris de curiosité, dans Google Maps j'ai tapé "Le Château des brouillards". Lors de mes innombrables promenades à Montmartre, j'ai dû passer cent fois à côté, sans en connaître l'histoire. Toujours dans le même esprit, j'ai tapé ensuite "Mortefontaine", et me suis retrouvé non loin d'Ermenonville et de sa grande forêt domaniale. J'étais bien avancé...
Toujours est-il que demain, tout à l'heure, j'irai acheter "Les Filles du feu", dans ma librairie habituelle.
Dans votre pèlerinage nervalien, vous pouvez aussi vous rendre au théâtre de la Ville, place du Châtelet. Là où est la scène de ce théâtre se trouvait la rue de la Vieille-Lanterne. Et, à peu près à l'emplacement du trou du souffleur (s'il y est encore) était la grille à laquelle, un matin de 1855, Nerval fut retrouvé pendu.
RépondreSupprimerOui il en est question dans le livre d'OW. Il y est même dit que la thèse du suicide est loin d'être une certitude.
SupprimerPuisque vous êtes curieux: magnifique série documentaire animée en 4 épisodes "L'armée des romantiques " sur arte (en replay). On y retrouve Gérard de Nerval, vie et mort.
RépondreSupprimerB.
Ah oui ? Je vais aller voir ça, merci !
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