Le billet d'hier soir reflétait mes premières impressions après avoir vu "La conspiration du Caire" sur Arte, jetées en vrac pour ne pas aussitôt les oublier. Je n'aurais pas dû le publier ainsi. Il a donc retrouvé son statut de brouillon en attendant mieux.
Ça tombe bien car j'évite autant que possible les sujets angoissants le soir, et hier j'ai préféré regarder "Les petits meurtres..." qui étaient délicieux tous les deux !
RépondreSupprimerMais le film d'hier soir n'avait rien d'angoissant ; en revanche il s'en dégageait beaucoup de force.
SupprimerMildred est une petite créature sensible et fragile.
SupprimerEvitez ce genre de sujets à l'avenir si vous voulez garder son lectorat et son commentariat
Fragile ? Je ne me l'imagine pas comme ça...
SupprimerAu contraire !
C'est service minimum en ce moment chez vous ...
RépondreSupprimerB.
Vous avez remarqué ? 😊😀
SupprimerEmploi du temps chargé, ça ira mieux dans quelques jours...
Il se passe quoi, "DEMAIN À L'AURORE" ?
RépondreSupprimerIl se passe, mon bon bedeau, que je n'ai ni le temps ni l'esprit à bloguer.
SupprimerMais ça reviendra !
En lisant votre message de service il m'était venu un long commentaire sur le sens de la vie, les vertus du renoncement, l'esthétique du retrait, l'intérêt indéniable de la culture des haricots en milieu clos, ainsi que d'autres considérations essentielles dont le tranchant m'a paru quelque peu émoussé à la relecture ; une manière de rétro-éjaculation tardive si l'on veut. Je préfère donc ne pas commenter en attendant d'avoir un point de vue plus construit sur votre message de service... ce qui ne saurait tarder.
RépondreSupprimerLéon
Mais j' vous en prie
SupprimerJe crois qu'il est grand temps pour Fredi autant que pour Léon, afin de leur éviter trop de rétro-éjaculations que j'imagine pouvoir être douloureuses à la longue, d'aller se promener, comme je le fais depuis des mois dans l'ouvrage de Rémi Brague, intitulé : "Sur l'Islam" (Gallimard 2023).
RépondreSupprimerJ'y relève pour eux, à la page 145, ces mots attribués à Muhammad Abduh datant du début du XIXe siècle :
"L'intellect de l'homme, laissé à lui-même, est incapable de fournir à son possesseur ce en quoi consiste son bonheur en cette vie."
Eh bien, Chère Mildred, après de très longues hésitations entre le lard et le cochon à propos de ce... de cette... enfin ça a tout l'air d'une sorte de phrase quand même quand on élague un peu... eh bien figurez-vous que je ne m'en étais même pas rendu compte ! Peut-être suis-je dépourvu d'intellect ? Peut-être ne suis-je pas suffisamment "laissé à moi-même" - j'ai beau m'astiquer le cerveau, je ne comprends absolument pas ce que ça peut bien vouloir dire ? Je vous remercie vivement pour ce conseil par procuration -que je ne saurais prendre comme une offre bien charitable de service- mais, au fond, je préfère en rester à ce merveilleux dicton : If you want to fuck funny, fuck yourself and save some money.
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