Je veux dédier ce poème À toutes les femmes qu'on aime Pendant quelques instants secrets À celles qu'on connaît à peine Qu'un destin différent entraîne Et qu'on ne retrouve jamais À celle qu'on voit apparaître Une seconde à sa fenêtre Et qui, preste, s'évanouit Mais dont la svelte silhouette Est si gracieuse et fluette Qu'on en demeure épanoui
Les cheveux et le foulard de "la Belle" qui presse le pas pour se réchauffer, sur la première image ?
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SupprimerÀ toutes les femmes qu'on aime
Pendant quelques instants secrets
À celles qu'on connaît à peine
Qu'un destin différent entraîne
Et qu'on ne retrouve jamais
À celle qu'on voit apparaître
Une seconde à sa fenêtre
Et qui, preste, s'évanouit
Mais dont la svelte silhouette
Est si gracieuse et fluette
Qu'on en demeure épanoui