L'affaire MBAPPÉ, dont personne ne sait rien faut-il le rappeler, serait au pis-aller le révélateur d'une chose vieille comme le monde : la recherche de l'altérité, de la différence. Phénomène bien humain qui fait que les Antillaises, par exemple et parfois contre leur gré, ne ressemblent plus vraiment à leurs ancêtres Africaines, que la créolisation est une réalité aux quatre coins du monde. Cette quête d'altérité qui faisait remonter, après la dernière poire au Pied-de-Cochon, la rue Saint-Denis (ce n'est plus aussi vrai aujourd'hui) les provinciaux en goguette, à la recherche d'un petit cul bien rebondi, d'un corps à la peau soyeuse, aux parfums poivrés.
Que j'aime voir, chère indolente,
De ton corps si beau,
Comme une étoffe vacillante,
Miroiter la peau !
Rien de nouveau sous le soleil...
Mbappé lui, profite de sa perm, prend son jet privé, s'en va à Stockholm, dans ce pays où les filles aux cheveux blonds, aux yeux si bleus, ont une peau de porcelaine : le fantasme de la femme blanche agite son entrejambe...
Mais Mbappé devrait savoir, il va peut-être l'apprendre à ses dépens, que la femme, noire ou blanche, peut se révéler assez garce...
"L'affaire Mbappé dont on ne connait rien...", contrairement à l'affaire Depardieu dont on savait tout et l'affaire Henri Grouès dont on n'ignore rien
RépondreSupprimerIl n'y a pas que les femmes, noires ou blanches, qui peuvent être de fieffées salopes.
"fieffées salopes", j'aurais dû y penser...
SupprimerPourtant je connais mon Georges par cœur ! ☺️😄
Pauvres footeux! Leur idée de la rigolade: aller en boîte avec des putes.
RépondreSupprimerP.
😁Oui hein !
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