mardi 16 juillet 2024

Du poing levé



Une certaine presse, des commentateurs très orientés, s'offusquent du poing levé de Donald Trump juste après la tentative d'assassinat dont il a été la victime. Ils y voient le signe d'une agressivité folle, d'un masculinisme exacerbé ; en un mot de la dangerosité de ce candidat. Et n'attendez pas d'eux le minimum syndical de compassion pour un homme qui a frôlé la mort : n'a-t-il pas qu'une très modeste et insignifiante égratignure au lobe ? C'est du chiqué ont-ils envie de dire, tout en se retenant car les conneries ont leurs limites... 

Pardon mais je m'inscris en faux !

Encore heureux que celui qui est peut-être destiné à diriger la première puissance mondiale soit un peu burné ! Son job ne sera pas tout à fait celui d'un bisounours !

Oui mais voilà : là-bas comme ici beaucoup ne rêvent que de dirigeants castrés, impuissants. En France, par exemple, le modèle idéal c'est un Olivier Faure ou une Marine Tondelier. 

Mais un sénile avec un pied dans la tombe comme aux EU ferait parfaitement l'affaire... 

6 commentaires:

  1. Pourquoi les Français se croient-ils autorisés à aimer, détester, juger et condamner des chefs d'état étrangers qui sont à la tête d'états alliés (et censés être amis)?
    Pangloss

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    1. Pas les Français Pangloss, pas les Français.
      Les Français s'en foutent à mon avis, et ils ont bien raison.
      En revanche dans le carré d'or de la rue Saint-Honoré ça turlupine...

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  2. Dans le cas inverse, il aurait juste été un fort-en-gueule, une baudruche, un Tartarin qui se fait sur lui au premier coup de feu entendu.
    Ne cherchez pas plus loin, quoi qu'il fasse, c'est tout faux

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  3. Bravo à Evan Vucci ! Magnifique ce cliché ! Tout y est !
    B.

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Lâchez-vous !
Mais en gens bien élevés tout de même...